Les coordonnées de l’absence
Le 2 janvier 2120, la station antarctique demeurait plongée dans un apaisement oppressant. Les principes de sécurité, généralement stricts, avaient été désactivés pour booster l’analyse du silence. Tous les relevés affichaient des niveaux normaux, aucune panne, aucune sorte de vitrage sur les circuits, aucune perturbation électromagné